samedi, juin 23, 2007

une fable ... la vérité

une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité
une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité
une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité
une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité
une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité
une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité
la vérité ressemble fort à une fable que tout le monde répète
la vérité ressemble fort à une fable que tout le monde répète
la vérité ressemble fort à une fable que tout le monde répète
la vérité ressemble fort à une fable que tout le monde répète
la vérité ressemble fort à une fable que tout le monde répète

tout le monde répète une fable
une fable ressemble fort à la vérite
la rite ressemble fort à une fable

vendredi, juin 15, 2007

Un peu d'intelligence

Un peu de sagesse en ces temps d'hypercommunication :

- "C'est une fable que tu nous a raconté , dit avec mépris le berger peuhl,

- Oui, répliqua le chasseur de crocodiles, mais une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité ! "
La randonnée de Samba Diouf - 1927 J. et J. Tharaud.

jeudi, juin 14, 2007

Connaissance, nature mais pas, seulement

Notre mé-connaisance de la nature n'entraine-t'elle pas tous les dégats que nous y causons ?
Deux approches :
- l'expérience : c'est ce que nous donne la nature
- la projection mentale : c'est le travail de notre esprit qui peut nous inciter à mettre en oeuvre des actions.
Enrichir notre expérience, est une projection mentale et sera toujours guidé par une idée de départ née dans notre esprit , ce qui implique que toute recherche tendra toujours vers une finalité (ce qui est né dans l'esprit du chercheur) . C'est aussi pour cela que les programmes informatiques qui n'accomplissent que des tâches prédéterminées , s'y adaptent à merveille.

Notre ignorance a plusieurs conséquences :

Il faut toujours garder à l'esprit que nous ne produisons que des idées incomplètes (ce qui conduit aux modèles) et que nous ne pourrons jamais connaître toute les interactions de la nature de par ses infinis (grand, petit, complexe). Le meilleur exemple se voit de biologie : on découvre les anti-biotiques, on ignore trop longtemps la resistance des bactéries. On met au point des inscticides et des herbicides ce qui accroît les rendements dans l'immédiat ; mais on ne se soucie pas de savoir comment s'en débarrasser définitivement sur le long terme ; ce qui finit par empoisonner les sols, les eaux et détruit la biomasse qui constitue l'humus laquelle finira par manquer aux êtres qui en dépendent, c'est à dire nous !

Désormais, et c'est ça la mondialisation, toute idée peut avoir un impact terrestre, sa concrétisation doit donc faire preuve d'une attention prenant en compte sa dimension et dans l'espace et dans le temps!

Il faut se méfier de notre symbiose avec les outils que nous créons : en effet ils orientent inconsciement notre vision du monde en en réduisant les possibilités, dont au moins une (si ce n'est la première...) est d'évoluer vers la disparition de l'outil lui-même, et a tendance à nous y enfermer.